Moonkey, passionné par le dessin, crée, dès l’âge de 8 ans, Spori, un magazine
reprenant le concept de Pif Gadget ou de Spirou Magazine qu’il vend dans les cours d’école. Quelques années plus tard, il s’ouvre au manga papier : « J’adorais vraiment le style japonais, je ne voulais plus dessiner que comme ça. » Et surtout, il découvre une nouvelle façon de raconter des histoires en BD. Des livres de 200 pages où l’on peut prendre le temps de décrire une scène, une discussion, rentrer dans le détail d’une action. « Pouvoir approfondir la psychologie des personnages, les rendre vivants ! »
Moonkey est invité pour la première fois pendant un mois au Japon en 1997, chez son ami Shingo Araki (character designer entre autres de Saint Seiya, Lady Oscar, etc.) et Buichi Terasawa (Cobra). Il y découvre comment travaillent les character designer et les mangaka.
Huit mois plus tard, en 1998, il se présente avec une cinquantaine de planches chez les plus grands éditeurs japonais, dont le Weekly Shonen Sunday qui lui demande une nouvelle version de son manga après lui avoir donné pendant plusieurs heures de précieux conseils. Le Weekly Shonen magazine de la Kodansha lui propose alors de participer au concours « Jeune Talent manga ». Il travaille ensuite deux ans chez Dynamic Vision (devenu Dybex), en tant qu’adaptateur graphique sur de nombreux mangas japonais, webmaster et illustrateur.
En 2005, il devient officiellement le premier mangaka européen/français avec la prépublication de DYS dans le magazine Shônen Collection. DYS est la première série créée par un Européen pour les Européens et reprenant tous les codes non seulement graphique et narratif, mais aussi tout le processus éditorial japonais : prépublication dans un magazine, système de votes par les lecteurs, et publication de tomes reliés.
Il a depuis publié Léna, manga réalisé pour le gouvernement belge, puis Necromancer.
reprenant le concept de Pif Gadget ou de Spirou Magazine qu’il vend dans les cours d’école. Quelques années plus tard, il s’ouvre au manga papier : « J’adorais vraiment le style japonais, je ne voulais plus dessiner que comme ça. » Et surtout, il découvre une nouvelle façon de raconter des histoires en BD. Des livres de 200 pages où l’on peut prendre le temps de décrire une scène, une discussion, rentrer dans le détail d’une action. « Pouvoir approfondir la psychologie des personnages, les rendre vivants ! »
Moonkey est invité pour la première fois pendant un mois au Japon en 1997, chez son ami Shingo Araki (character designer entre autres de Saint Seiya, Lady Oscar, etc.) et Buichi Terasawa (Cobra). Il y découvre comment travaillent les character designer et les mangaka.
Huit mois plus tard, en 1998, il se présente avec une cinquantaine de planches chez les plus grands éditeurs japonais, dont le Weekly Shonen Sunday qui lui demande une nouvelle version de son manga après lui avoir donné pendant plusieurs heures de précieux conseils. Le Weekly Shonen magazine de la Kodansha lui propose alors de participer au concours « Jeune Talent manga ». Il travaille ensuite deux ans chez Dynamic Vision (devenu Dybex), en tant qu’adaptateur graphique sur de nombreux mangas japonais, webmaster et illustrateur.
En 2005, il devient officiellement le premier mangaka européen/français avec la prépublication de DYS dans le magazine Shônen Collection. DYS est la première série créée par un Européen pour les Européens et reprenant tous les codes non seulement graphique et narratif, mais aussi tout le processus éditorial japonais : prépublication dans un magazine, système de votes par les lecteurs, et publication de tomes reliés.
Il a depuis publié Léna, manga réalisé pour le gouvernement belge, puis Necromancer.